Ce qui est risible dans cette campagne de vaccination c’est la cacaphonie entre le ministère de la santé en France et les déclarations de l’OMS. D’un côté l’OMS nous annonce que le pic de la pandémie est atteint et le virus en régression partout sauf bien évidemment en France où seulement 3 millions et demi de personnes ont été vacciné, faut bien les écouler.

Le plus risible dans tout cela c’est que l’on va avoir du mal à nous faire avaler que le recul de la pandémie pourrait être le fait de la vaccination des populations quand on sait le pourcentage ridicule de personnes vaccinées en Europe et en France.

Au final cette pandémie H1N1 aura du bon elle permettra de constater logiquement qu’aucun vaccin n’a jamais fait reculer une pandémie et que la vaccination est une foutaise que l’on nous ressert depuis un peu plus d’un siècle pour rien.

Par contre pour ce qui est des effets secondaires à plus ou moins longues échéances et des conséquences désastreuses sur l’organisme et ses défenses générales, je ne parierais pas sur les vaccinés face aux non-vaccinés. Sans compter l’augmentation de maladies dégénératives bien plus graves qu’une grippe fût-elle H1N1.

Pour ce qui est des cas graves suite à la vaccination j’ai deux cas à portée de la main si j’ose dire, un enfant de 9 ans paralysé depuis et une amie de ma soeur qui a fait une fausse couche à 8 mois et demi dans les deux cas moins de 3 jours après la vaccination.

Un malheureux hasard nous dira le corps médical incapable de remettre en cause son fonctionnement doctrinal sur la vaccination et ses dangers. Même si il est à noter que plus de médecins qu’à l’accoutumée se sont élevés contre ce vaccin réalisé dans des conditions ubuesques pour ne pas employer d’autres mots.

Et pendant ce temps là on voit aux infos des personnes qui n’ont pas de toit sur la tête pendant que l’hiver se durcit et qu’il suffirait que les températures baissent encore pour que le nombre de tués par le froid devienne supérieur aux quelques victimes de la grippe H1N1.

On marche sur la tête.