La plus-value imaginaire ce serait plutôt l’usure, non ?
Celle que l’auteur cite n’est pas imaginaire, anticipée plutôt (un peu comme qui dirait, la peau de l’ours dans la fable.) C’est du risque certes, mais pas comparable à la pression monétaire due aux dettes. Par ailleurs c’est la pression à l’endettement qui génère ce genre d’aventures. La cause profonde de la crise qui vient reste bien l’usure CQFD !
La création de valeur par endettement, jeux de bourse et transactions monétaires est purement virtuelle d’autant que l’argent n’est pas une richesse, seulement une image de la richesse qui pourrait tout à fait se révéler mirage. Bien sûr que tout ça se paiera un jour, mais tant qu’il y a des pigeons ça pourra durer longtemps... Quoique ?