bonjour
effectivement la presse est devenu quelque chose de nauséabond. son rôle est essentiel dans la circulation de l’information, mais ce qui la fascine semble être son pouvoir de briser des vies.
elle se transforme en pilori ou elle brûle des êtres sous des fagots de mots pour faire du fric par ce que cela nourri le voyeurisme macabre de gens qui se délectes des souffrance des autres et y trouvent un regain d’estime d’eux même.
cordialement.