ddacoudre ddacoudre 27 décembre 2009 21:18

bonjour Ungeko

j’ai un peu hésité à faire cet article qui offre une grille de lecture qu’il faut utiliser avec précaution.

elle permet de comprendre que le dominant n’est pas seulement le plus fort qui peut nous apparaître dans l’étude de nos sociétés mais celui qui est à même d’être le meilleur reproducteur de son espèce. que le dominant n’est pas a rechercher dans la multitude des compartiments 2 et 3, qui se cherchent une solution pour sortir du cloaque, mais dans ceux qui vivent en harmonie dans leur environnement. pour notre espèce cela concerne que très peu de population que nous considérons encore comme sauvage.

notre histoire humaine démontre que l’organisation de la multitude dans la recherche de sa nourriture et d’un ordre est un danger même pour les dominants alpha, (les tributs éparses).

nous l’avons vu avec tous les processus de colonisations. ce qui complique la compréhension, et c’est la la limite avec cette étude, c’est que dans la pression du stress que fourni le cloaque qu’apparait grâce au processus émotionnel de la survie, la solution procréatrice au travers d’un ordre situant le dominant, non plus dans ces populations éparses vues comme des « sauvages », mais dans l’extériorisation de ce dominant dans un espace supérieur au notre (Dieu ou toutes les constitutions fondatrices), pour que cesse l’autodestruction du groupe 2 et 3.

quelque part nous pourrions dire que dans les groupes réduits évoluant dans un espace suffisant, les tabous et les totems sont l’expression des comportements innés non perturbé par la surpopulation dans un espace restreint, tandis que la sédentarisation, pour produire ce qui nourri et donne la puissance dans un lieu concentrationnaire, sollicite inné pour fournir une solution adéquate qui se trouve dans cette internalisation du dominant, et nous concevons à partir de là toute sorte de dominants systémiques, comme ceux idéologique ou dogmatique que ce soit en organisation sociale et économique.

actuellement est sorti un ouvrage de kathinka Evers la neurohethique paru aux éditions odile jacob. c’est une philophes qui traite de la place des neurosciences dans la détermination de l’analyse de la conscience et du libre arbitre. lire son ouvrage en ayant en mémoire l’existence de cette pression concentrationnaire en situation de surpopulation fait comprendre que nombre de nos émotions morale sont une solution à la pression de cet état concentrationnaire.

cordialement.
 


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