Roche 28 décembre 2009 13:10

« Adlène Meddi et Ahmed Tazir ont commencé d’abord par une petite virée au quartier de Belcourt qui a vu grandir Camus »

Bah, c’est un peu comme ici lorsque vous parlez aux jeunes de poésies ou d’écrivains qui ont marqué leur passage en Fance ou en Europe ! pas étonnant que les algériens ne connaissent pas Camus, d’autant que l’école en Algérie s’est complètment fermée avec l’arabisation du pays depuis Boumedienne. Il y avait un texte à ce sujet sur AlWattan justement, à propos des universités...


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