Internaute Internaute 30 décembre 2009 09:48

L’article et les commentaires tendent à présenter la fausse monnaie (l’argent-dette) comme un complot monté par les banquiers pour sucer les avoirs du petit peuple. C’est beaucoup trop manichéen pour être sérieux et retire du panorama deux acteurs essentiels - les entreprises capitalistes et l’Etat.

Ce qui était vrai au 18eme siècle (Rothchild) n’est plus qu’anecdotique aujourd’hui.

Il y a même un commentaire qui présente la vente de la maison de l’emprunteur comme le but final du banquier qui se frotterait les mains en attendant que son client fasse faillite. La réalité est que la vente d’une maison est la pire des solutions pour le banquier et les difficultés des banques américaines aujourd’hui sont là pour le prouver.

Le crédit masque temporairement les effets de la crise (chômage, pauvreté, raréfaction des biens sur les marchés, baisse de la qualité, violences urbaines) mais ne résoud rien du tout.

Le crédit par la création monétaire (en opposition au crédit donné sur l’épargne) n’est que le pis-aller qu’ont trouvé les politiciens et leurs conseillers économiques pour retarder le plus possible une crise due à la saturation des marchés et à l’augmentation infinie de la productivité des usines. Le crédit arrive au même moment que le mondialisme qui essaye de trouver des débouchés artificiels dans les autres pays auprés d’habitants non solvables.

La crise économique est doublée d’une crise humanitaire puisque les députés ont rempli la France d’immigrés alors qu’il n’y a plus ni travail ni place pour eux.

On peut trouver scandaleux que l’impôt sur le revenu serve à payer les intérêts de la dette mais imaginez où l’on en serait si Christine Lagarde avait le pied sur la pédale de la machine à céer de la monnaie ! Notre pouvoir d’achat chuterait à cause de l’inflation des prix.

Commençons par voter pour des politiciens proposant une réduction de la dette et des services de l’Etat.


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