Ave Sandro
Il a raison : la masse est dangereuse, elle l’a toujours été. Sa force d’inertie se transfigure si rapidement en force de frappe, pour peu qu’un chef ou une idée force l’éveille dans sa léthargie.
Sais-tu... Sans cette saillie je me serais contentée d’un hochement de tête (« ah, encore un bluesman, encore un clopeman d’un temps révolu »).
Face aux totalitarismes, vive l’individu.