Le mieux, c’est encore d’écouter l’interview que j’ai mis en ligne trois post plus haut, pour se faire une idée.
Car pour le reste, comme dit Jean Fauque :
« Les paroles en l’air
Ca me sidère
Ca me scie
Les paroles en mer
Font des croisières Ca me scie,ça me scie. »
(Bashung/ Fausue, « les lendemains qui tuent »)