ddacoudre ddacoudre 3 février 2010 13:12

bonjour moreinge

c’est l’aboutissement d’un processus ultime, commencé avec Mr barre, c’est la conséquence de la veulerie des salariés du privé.

les hommes dans leurs plus grande masse ne sont pas courageux, c’est pour cela qu’ils cirent toujours les bottes des tyran « la boétie »..

la marche de l’ouverture de la mondialisation à mis nos productions en concurrence avec des pays où le cout de la prospérité était bien inférieur au notre et Mr Barre de dire en 1977 la France vie au dessus de ses moyens. à commencé la dégringolade du privé, encore soutenu par une syndicalisation forte, il a fallut attendre l’arrivé des gouvernements de Mitterrand pour inverser ce rapport de force essentiellement construit sur la peur du communisme, une fois celui -ci disparu la dégringolade a continué avec ses successeurs, le « gel » des politiques conventionnels, les augmentations individuelles au mérites, la flexibilité, la précarisation, etc..
dans ce dédales de mesures régressives malgré qu’ils soient été appelé par les syndicats à ce mobiliser contre, ce fut un échec total (même 95). le pouvoir n’a alors eu de cesse de montrer les fonctionnaires comme un coût grévant le budget de l’état, et comme des personnels privilégiés,.
ce travail de sape à suivit sont chemin dans une population du privé peureuse et qui faute de trouver le courage de se révolter, dénonçait le secteur public et le chargait de tous ses maux, elle avait trouvé le boucs émissaire qui lui permettait de conserver l’estime de soi.

nous avons donc vu se mettre en place la régression de ses avantages y compris la remise en cause de ses régimes spéciaux, cela sous les applaudissements du privé.

plus scandaleux ceci était réclamé au non de l’égalité républicaine.

en quelque sorte la régression que n’ont pu enrayer les salariés du privé, les pouvoirs public l’ont transposé sur le public au non de l’égalité avec le soutient des lâches.

mais il leur restait encore un avantage, ils n’étaient pas soumis à la précarité de l’emploi et aux licenciements.

voila chose qui va être rectifié avec cette loi qui bien évidement va être présenté de manière d’avoir l’aval des lâches. nous appelons cela la modernité

je dois être trop vieux pour comprendre cela, j’aurai préféré que les salariés s’unissent pour réclamer des instances internationales, la CESL et la CISL un cadre commun de droit sociaux. sauf nos dirigeant savent mettre en place l’OMC ’organisation mondiale du commerce’ ou RSDCP la (régression par le sous développement de la culture populaire).

quand comme je le fais succinctement l’on a pu suivre ce développement, je ne pense pas qu’en tant qu’homme politique l’on puisent en être fier.

comment peut-on se faire élire en déclament être pour le développement de la prospérité des hommes et concourir a sa précarité. y a t-il encore quelcun pour comprendre cela

cordialement


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