@ Sandro
Rêve récurant, nuit pleine et blanche, angoissante et agitée, nuit
transalpine à défaut d’être romaine. Images entrechoquées en volutes de
fumée. Solitude d’un globe-trotter au porte du néant. Esprit
effervescent, observateur, narrateur des ambiances glauques qui s’étire
vers l’ennui. Etrange traversée en sombre conjecture vers une finitude
qui n’en finit pas. Redistribution du temps, des choses et des êtres
dans la grande braderie du souvenir...et trois ratons laveurs.
Il
suffit de s’assoir et de regarder.
Merci au talentueux Sandro.