Salut Sandro
ah ! l’ambiance des trains de jadis. Les remugles de tabac froid s’échappant du cendrier dans le couloir, la jolie demoiselle que pericoloso sporghesi n’inquiète et qu’on frôle en allant aux WC, les photos d’un barrage entre deux montagnes, l’odeur du saucisson et des oeufs durs réunis dans le compartiment, le tam tam assourdissant qui s’échappe de la fosse d’aisance, voilà qui fabrique les poètes de demain......
et les rédacteurs d’Agoravox