Philippe, quand vous dites que la Grèce n’est pas la proie la plus vulnérable, mais seulement la première
des proies, je suis tout à fait d’accord avec vous. Nous sommes les suivants sur la liste.
Antoine : oui, ça va péter en Grèce, on a eu un avant-goût l’an dernier, et ça va faire traînée de poudre...