Emile Red Emile Red 16 février 2010 17:22

Zen,

Méfie toi, les british faisaient certainement du vin avant les fr...gaulois, et le pire, pour la nique des anti réchauffement, ils se mettent à en refaire avec quelques réussites impossibles il y a encore 20 ans, cependant que nos vins les plus exposés souffrent de plus en plus...

Pour les pesticides, tu te trompes d’adresse, il faut aller taper vers la Napa et le Monsantisme amer. Ici, exceptée la bonne bouillie bien de chez nous, peu sont ceux qui risquent de détruire la récolte avec ce genre de merde, seul demeure et encore parcimonieusement le soufrage qui tend à disparaître.

On va pas empoisonner nos clients, qui qui nous achèterait notre nectar...

Mais lire que le vin serait dangereux, j’hallucine, comme n’importe quel produit ingéré, l’excés implique des risques, seul le consommateur est dangereux de par son irresponsabilité.

Par contre M. l’auteur vous oubliez de parler des nombreux bienfaits des composés polyphénoliques :

« Le French Paradox = constat américain de l’allongement de l’espérance de vie chez les français qui consomment du vin de façon raisonnable dès 1975, 40 pays participent à l’étude »MONICA« , afin d’étudier les facteurs intervenant dans les maladies cardio- vasculaires.

L’expérience : 34 000 hommes, âgés de 40 à 60 ans, buvant 2 à 5 verres de vin par jour pendant 12 ans.
Les conclusions :
une réduction de 30 à 40 % de la mortalité cardiovasculaire
une réduction de 25 à 30% de la mortalité totale (toutes causes confondues)
un effet protecteur possible contre certains cancers »

« En 1991, le professeur Serge Renaud met en évidence ce que les Américains appelle le :
« French Paradox »
Les Français, bien qu’ayant une alimentation riche en graisse et un taux de cholestérol élevé, ont une incidence moindre des maladies cardiovasculaires.
Renaud établit qu’un régime alimentaire riche en polyphénols ( 1 verre de vin par jour, huiles végétales, fruits et légumes ) diminue de 50% le risque de maladies cardiovasculaires ou neurodégénérative.
Depuis, des études réalisées in-vitro sur des extraits isolés d’aliments, dont le vin,
démontrent qu’ils sont :
- antiagrégant plaquettaires : par diminution du taux de plaquettes activées
- anti-inflammatoires : ils freinent l’oxydation des lipoprotéines LDL qui véhiculent le cholestérol et limitent en même temps la formation de plaques d’athérome qui peuvent provoquer l’athérosclérose
- anticancéreux : notamment le resvératol qui a la capacité d’inhiber la formation et la progression des tumeurs cancéreuses = molécule préventive »

Mais vous pouvez vous empoisonnez à l’eau et sans plaisir..........


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