Oui, non seulement cette remarque de Juncker est dédaigneuse à l’égard des citoyens européens - traduction : vous n’avez rien à savoir, on vous emmerde - mais elle sous-entend une planification déjà établie sous le manteau de mesures coercitives ; comme d’habitude, ce sont les peuples qui vont morfler et les banques qui vont ramasser.