Vincent 23 février 2010 09:50

Pfff, le c’était mieux avant, résumé de cet article, la DS était formidable, la deuch aussi.
Je possède toujours ma deuch d’étudiant, elle est remisée au fond du garage en attendant que j’ai un peu de temps pour lui refaire une jeunesse. J’ai toujours dit, une deuch c’est bien, une voiture c’est mieux.
J’ai fait environ 150 000 km avec ma deuch, deux moteurs, un embrayage et quelques bricoles donc je sais de quoi je parle.
Les voitures actuelles sont beaucoup plus sûre et donc plus lourdes que les anciennes, les distances de freinage ont était diminuées de plus de la moitié, la tenue de route grâce au progrès des suspensions, de l’électronique et des pneumatique est sans commune mesure avec les ancienne automobiles.
Cet article traite de la DS, dans les année soixante combien faillait-il de smic pour se payer une DS ?
C’est votre droit de préférer els anciens modèle, mais franchement l’agrément de conduite des nouveaux modèles, le confort, le silence et le nombre d’équipements me satisfait pleinement.
Je suis loin d’être un geek de l’automobile. Mais pour rien au monde je ne prendrais une ancienne voiture pour faire mes 200 bornes quotidiennes.
Enfin, Hellios :
La deuch n’a pas été sacrifié sur l’autel de la rentabilité, simplement au bout d’un quarantaine  d’années de production, les français aspiraient à d’autres modèle, la deuch a été arrêtée en 88 il me semble, les dernières prod on été faite au Portugal et enfin les chaînes ont été transférées au Brésil je crois.

Le coup des pièces de rechange tient aux faits que celles-ci bénéficient d’un traitement logistique et d’un conditionnement spécial, elles sont pour la plus part fabriquées en même temps que les pièces séries mais emballées unitairement et codifiées différemment dans le meilleur des cas. Dans le pire, les usines doivent ressortir les outillages série et produire de petites quantités avec des touillages taillés pour la grande série. Un sous traitant automobile, doit contractuellement avec les constructeurs conserver les outillages de production au minimum 10 ans après l’arrêt de la pièce. Dans le secteur automobile il y a des hangars  de stockage pleins d’outillages ne servant qu’épisodiquement. Tout cela a un coût et est répercuté sur le prix de la pièce de rechange. Il y a en moyenne un facteur 10 entre le prix de fabrication série et le prix de la pièce de rechange.

Les critères de contrôles techniques sont normalisés et incluent en plus des normes anti pollution des critères de sécurités essentiels tels que le freinage, l’armortissemment, la visibilité.


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