Reinette Reinette 26 février 2010 12:55

dommage, l’auteur de cet article tombe dans la propagande comme ceux d’ailleurs qui défendent Castro
les Cubains ont été victimes d’une dictature avec Batista, dont le régime était arbitraire et corrompu avec la main-mise des capitaux américains et anglais : dans les années 1950, les Américains contrôlaient 90% des mines de nickel et les exploitations agricoles, 80% des services publics, 50% des chemins de fer et le Royaume-Uni toute l’industrie pétrolière. Puis les insurgés Cubains se débarrassèrent du dictateur Batista en 1959

http://www.americas-fr.com/histoire/cuba.html

Cuba, la plus grande des îles caraïbes, est toujours comparée à une perle : ses milliers de kilomètres de plages ont la couleur de la nacre, sa musique vous envoûte.

L’Espagne et l’Afrique ont réussi là un fabuleux métissage : une architecture mi-espagnole, mi-coloniale, un peuple doué d’un sens de l’hospitalité rare qui, malgré la misère économique, sait garder le sourire et le goût inné de la fête.

Car Cuba, c’est aussi une extrême misère dans laquelle, pourtant, les gens construisent une montagne avec presque rien. Si l’on a appelé Cuba le « paradis socialiste », vu de l’intérieur, le socialisme n’a en effet plus grand-chose d’enchanteur : on y manque de tout ! Sur cette île paradisiaque, terre du meilleur tabac, berceau de cocktails fameux et de toutes ces musiques qui font danser le monde, la nécessité fait loi.

N’oublions pas non plus que Cuba est le lieu de naissance de toutes ces musiques qui font danser le monde : salsa, mambo, rumba et chachacha. Comme la santería, cette étrange religion venue d’Afrique, Cuba vous ensorcelle.




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