Une illustration des « faux-droits » permis par la création de
pouvoir d’achat grâce au contrôle du crédit tel que dénoncés par
Maurice Allais.
Un groupe d’investisseurs, en association avec Goldman Sachs
qui rachète la maison mère de Fenwick, en y mettant 800 millions de
leur poche et en empruntant 3 milliards.
Ces 3 milliards sont créés ex-nihilo par le mécanisme du crédit.
L’entreprise est ensuite pompée pour rembourser l’emprunt (restructuration, pression sur les salaires, hausse des prix...).
voir http://www.youtube.com/watch?v=cYi7l7Z8VM8
Si cela n’est pas des faux-droits...
Il faut un droit du crédit.
Le crédit ne doit être laissé à une « gouvernance » (gouvernement non élu), mais à des représentants du peuple, sur une base légale.