Poser la question de savoir si le « transexualisme » est une maladie mentale manifeste une autre maladie mentale :
celle de ceux qui passent leur temps à voir dans toutes les monstruosités et les horreurs dont sont capables les hommes des choses normales, des choix neutres, des manifestations de liberté, par lâcheté, par conformisme et par ignorance.