King Al Batar Albatar 9 mars 2010 11:14

C’est drole parce qu’hier je me suis coltiner le bouquin d’Elisabth Badinter le Conflit, dnas lequel elle mène un reflexion sur le fait que les femmes concoivent très différemment la maternité et l’élevage des gosses aujourd’hui et depuis 1990 a peu près, qu’avant.

Dans ce bouquin elle etablit des paralleles entre niveau d’etudes, nombres d’enfants, et disponibilité pour leur travail. Elle y démontre par exemple que les femmes les plus diplomés, ont rarement un enfant, ou alors après 35 ans, et que pour elle le plus important dans la vie est leur activité proffessionelle, au même titre qu’un homme. Dans ces cas la les salaires sont identiques ;

En revanche et c’est la majorité des femmes qui on des diplomes allant du Bac à Bac +5 et qui ont en moyenne 2 enfants. Ces dernières déclarent que leur principales priorités dans la vie est leur famille et leur travail passe après. Ce qui n’est pas du tout le cas de leur mari, pour qui le travail reste la principale motivation. D’ailleurs si on a très souvent vu des femmes égaler des hommes au niveau professionel, on rarement vu des hommes égaler des femmes au niveau de l’investissement dans la vie et l’organisation du foyer familiale (tache ménagères, s’occuper des enfants etc...) Pourtant les femmes conservent ses taches quand même, une fois le travail professionel terminé. Il est concevable pour un employeur de mieux remunerer quelqu’un qui s’investit totalement dans son travail, comparativement à quelqu’un qui a d’autres priorités.

Et puis il y a les femmes qui ont plus de trois enfants, diplomées ou non, elles ne sont interessés uniquement par leur cocon familiale et on à plus de 70% pas d’emploi.

Une veritable égalité serait d’aumenter les caisses d’allocation pour les femmes qui restens au foyer ou même celle qui travaillent pour compenser le manque à gagner. Quand on voit qu’aujourd’hui les allocations consitituent même pas un tiers du SMIC, on se rend compte que finalement l’etat ne considère pas qu’elever ses enfants est au moins aussi valorisant que travailler. Du coup pour les femmes issues des couches sociales les plus basses, travailler n’est plus un droit mais une obligation.... Quelle belle société qui a su nous vendre sous la forme d’un combat une aliénation supplementaire d’un partie de ses concitoyens afin de nous rendre totalement dépendant de la seule donnée qui dirige l’humanité : le fric !


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