Il faudrait que vous alliez visiter les pays qui ne peuvent plus emprunter sur les marchés mondiaux pour vous rendre compte de l’énormité de vos propos. Venez vérifier par vous même l Etat des infrastructures en Argentine ou en Sibérie, et comparez les à des pays similaires en densité de population comme l Australie ou le Canada. Venez y voir comment la pauvreté rend le salarié corvéable à merci. Comparez les conditions de vie des salariés de Carrefour dans ces pays à ceux de leurs confrères français devrait être relativement simple...
Vous comprendrez alors peut être que s’affranchir de ses obligations envers ses créanciers a bien un prix direct au niveau du bien être des plus faibles.