« une bonne partie des non-assurés ont bien les moyens financiers de se payer une assurance, mais choisissent volontairement de ne pas le faire » (lucilio)
Si bien que, lorsque ces personnes ont à engager des dépenses faramineuses pour un résultat hypothétique, elles hésitent, c’est logique. Cela ne fait pas l’affaire de tout le monde, j’imagine.
« On estime ainsi que les deux tiers des services de santé consommés par les non-assurés ne leur coûtent rien. » (lucilio)
Je ferai volontiers la même remarque que précédemment : celui qui paie hésite aussi, non ?
Et cela ne fait pas l’affaire de tout le monde ! Enfin quand je dis « tout le monde » je veux dire « le monde qui compte ailleurs que dans les urnes ». Voilà peut-être le pourquoi de la réforme !?