Francis, agnotologue JL 26 mars 2010 12:00

« une bonne partie des non-assurés ont bien les moyens financiers de se payer une assurance, mais choisissent volontairement de ne pas le faire » (lucilio)

Si bien que, lorsque ces personnes ont à engager des dépenses faramineuses pour un résultat hypothétique, elles hésitent, c’est logique. Cela ne fait pas l’affaire de tout le monde, j’imagine.

« On estime ainsi que les deux tiers des services de santé consommés par les non-assurés ne leur coûtent rien. » (lucilio) 

Je ferai volontiers la même remarque que précédemment : celui qui paie hésite aussi, non ?

Et cela ne fait pas l’affaire de tout le monde ! Enfin quand je dis « tout le monde » je veux dire « le monde qui compte ailleurs que dans les urnes ». Voilà peut-être le pourquoi de la réforme !?


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