Totor le fort Totor le fort 3 avril 2010 16:55

Article d’une indigence rare n’illustrant que la fatuité de son auteur qui, comme Monsieur Jourdain disait de la prose sans le savoir, pratique ici malgré lui une sophistique de supermarché...

On en retiendra que se lancer dans de telles entreprises, poussé par une prétention juvénile et sans disposer des outils intellectuels nécessaires, tient du suicide.


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