paul 8 avril 2010 15:06

Confusion de certains me semble t-il sur le rôle du journaliste : ce n’est pas un citoyen lambda :
il a une carte de presse , ce qui lui ouvre certaines portes et lui permet des enquêtes à l’intention
du public .L’enquête journalistique n’est pas celle de la police , même si ces derniers l’utilisent .

Les journalistes revendiquent à juste titre la protection de leurs sources d’ information et certains
subissent des pressions de la police , pour les divulguer . Le travail des jounalistes n’ est possible souvent que grâce à l ’anonymat des délinquants dans la mesure où ceux ci acceptent de témoigner. Aller dénoncer ceux qui sont piégés dans une enquête ,ce n’est pas le boulot d’un journaliste mais celui de la police .On a déjà vu ce genre de reportage sur le grand banditisme ou sur la drogue .Les journalistes sont ils allé dénoncer leurs interlocuteurs ? ils ne pourraient
plus travailler dans ces conditions où ils jouent le rôle de « balance » .
L’ État de plus en plus sécuritaire avec vidéo-surveillance , gardes à vue à la pelle ,mise en place d’un flicage intensifié du net , semble conduire à une suspicion généralisée .
Je suggère un boulot aux journalistes-flics : traquer et filmer les 367 burquas recensées sur
le territoire et passer le document des contrevenants à la police !


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