eric 24 avril 2010 15:29

Dans cet article ci je vous trouve un peu tiède par rapport à d’habitude. Pourtant, dans le kaléidoscope de particules brisées et en miroir, se reflétant les unes les autres de la gauche contemporaine, les écolos alteros citoyens ont considérablement renouvelé le stock d’oxymore et de pléonasmes qui ont toujours caractérisé leur pensée. Entre « la décroissance durable et forte créatrice d’emploi, la non violence civile citoyenne, il y avait de quoi rigoler plus loin.
Sans parler des controverses de fond entre vert anglais et français. D’accord sur la surabondance des renards en zone péri urbaine,ils sont les uns et les autres prêt à éliminer les goupils surnuméraires. Mais les premiers ont exigé un gazage humanitaire ( le stress et le petit cœur battant du pauvre animal poursuivi par un aristo) sans se demander si il était vraiment souhaitable d’injecter à tout va des gaz létaux en sous sol. Les seconds, le droit de chasse fait parti du modèle social français et constitue un acquis de la grande révolution, et sa contestation une assurance de perdre des voix, sont au contraire parvenus à demander l’interdiction des gazages, qui nous rappelle » les heures les plus sombres de notre histoire.
Comme tous ces braves gens suivent avec retard les américains,, il n’est pas inintéressant non plus de mentionner le programme informatique qui prouve, datation des squelettes à l’appui, que c’est l’homme qui a fait disparaitre le mammouth d’Amérique du nord. Comme on sait que sur le plan technologique, la pointe de silex a le plus grand mal à percer le cuir du susdit, l’explication est que la gestation de la mammouth (e) est longue et que la pauvre à besoin de calme. C’est l’agitation humaine environnante, déterminant des fausses couches qui en fin de compte aurait entrainé la disparition. Donc, hors technologie, c’est l’existence même de l’homme qui pose problème à l’écolo conséquent. D’ici à proposer une solution finale à la sauvegarde de la nature on voit bien qu’il n’y a qu’un pas...


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