Lucillo est dans la continuité de ses articles précédents.
Le monde peut bien s’écrouler, la panique gagner partout, le fascisme chercher à s’installer, les certitudes de beaucoup s’effondrer ... Lucillo, lui, ne change pas.
Il a tout compris : Il y a les bons et les méchants et Lucillo défend les bons (rentiers-capitalistes...)
Au niveau où nous emmène l’auteur, il n’y a plus lieu d’argumenter, c’est peine et temps perdu...