L’%Union Européenne n’a t’elle donc pas d’autres chats à fouetter ?
Les éleveurs, commerçants et industriels n’ont aucun intérêt à maltraiter les animaux d’élevage : Un animal souffrant grossit ou engraisse peu, produit moins ; un animal stressé lors du transport ou à l’abattoir donne une viande dont l’acidité laisse un mauvais goût, avec des échimoses...
Les conditions d’élevage progressent au même rythme que les connaissances et les conditions de vie des éleveurs.
Les aides européennes à l’élevage et au transport sont déjà assorties de conditions, comme les cultures. C’est ce que l’on appelle l’écoconditionnalité. Chaque agriculteur doit respecter, selon ses productions, une centaine de conditions, assorties de pénalités en cas de non respect...