Mr Bilger,
nos gouvernants s’attachent la corde au cou à la croissance de leur émoluments et à l’autre bout à la croissance du béton, espérant ainsi que tout ira bien...c’est leur dernier espoir. Leur carrière n’est qu’un trou profond dans la caisse dans lequel ils s’enterreront bientôt, coûte que coûte !