
J’imagine l’état d’esprit des dirigeants du football français dans l’après 98 : prolonger l’état de grâce de l’équipe black-blanc-beur. Pour des raisons financières bien sûr, mais peut-être bien aussi pour des raisons politiques, bâtir l’image d’une France multiculturelle et métissée.
Je me dis que Domenech est celui qui s’est vanté de construire cet équipe « politique ». Que c’est comme ça qu’il a eu le poste. N’est-il pas autre chose qu’un briseur de tibia passé gauche caviar ?
Sauf que, si le plan était bon, la réalisation a cafouillé. C’est la culture des banlieues mâtinée d’islam militant qui s’est invité, l’esprit tribal des clans et des caïds. Voilà pour l’image de ce groupe.
Concernant le jeu pitoyable, je crois que c’est encore plus simple : ces joueurs, certainement tous ou presque talentueux dans leurs clubs respectifs m’ont parus dénués d’esprit d’initiative, bloqués, et, je le crois, brimés dans leur football.
Les bureaucrates sont consistants dans leurs erreurs.
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