Non, Monsieur l’auteur. La crise belge est l’entre-choc entre deux conceptions : le droit du sol d’un côté, le droit des gens de l’autre. Une Flandre nationaliste, très nationaliste et une Wallonie socialiste, très socialiste.
Entre les deux : Bruxelles, capitale de l’Europe où deux votes flamands égalent un vote francophone, le pourrissement de la ville qui ne reçoit que 25 pour cent des impôts qu’elle génère et le refus de procéder à un recensement linguistique qui permet toutes les avanies. Capitale de l’Europe ? La Flandre s’en fout !
De cette absence de démocratie, vous ne parlez pas. Vous me paraissez un bien curieux pédagogue !