Michel Koutouzis
40% pour le travail et 20 % pour le capital.
Ces chiffres sont parlants. Nous glissons de plus en plus vers la pente du capitalisme rentier.
Nous sommes loin du capitalisme (qui a ses défauts comme le communisme) entrepreneur qui crée des richesses et des emplois en prenant des vrais risques.
Il faut dénoncer ce capitalisme rentier, destructeur à court terme et qui se paye sur la sueur du travail.
Nous allons droit dans le mur d’une impasse.