Je n’ai pas vraiment compris où voulait en venir l’auteur.
Nous apprenons donc avec son texte (?) que certaines peuplades , et il y en a certainement bien plus près de nous, ont fui la conscription forcée, la famine, la dictature ... Oui, et alors ?
Est ce un plaidoyer pour l’absence d’Etat ? Le neo-libéralisme absolu ?
S’il s’agit bien de cela, l’auteur fait dans le comique qui s’ignore.
Le manque d’arguments commence vraiment à se faire sentir ...