
Les indemnisations correspondent aux attaques de loups ou d’ours supposées ou avérées. Elles ne représentent en fait qu’une faible part des pertes consécutive au mode d’élevage (pas de surveillance, pas de chiens) qui exposent les bètes aux chiens errants et au mauvais temps (orages).
La plupart des habitants de ces secteurs sont d’accord avec ses réintroductions et protections, seuls, quelques éleveurs et élus s’y opposent farouchement et parfois avec des méthodes proches de l’intimidation.
La réalité est que écologiquement parlant - l’écologie est une science, celle de l’étude des interactions entre les espèces et avec leur milieu - il y a de la place pour les ours et les loups à coté d’un pastoralisme qui respectent plus les troupeaux (bergers en estive, chiens d’accompagnement...).
Quant au gibier sauvage, expliquez-nous pourquoi autant de battues sont organisées sous le prétexte qu’il y a trop de gibier si au contraire, il est rare.
Je devrais bientôt participer à un comptage nocturne en Lozère, je vous donnerai alors les chiffres recueillis à cette occasion, chiffres qui permettent ensuite d’établir le quotat de chasse par fédération pour la saison.
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