On suit bien votre raisonnement effectivement.
Techniquement quand même, il faut noter que l’abus de faiblesse est constitué quand la victime agit à son détriment. Or un financement de parti implique un retour d’ascenseur (un certain laxisme fiscal par exemple) et ne peut être considéré comme un abus de faiblesse puisque la supposée victime y trouve son compte et récupère sa mise.