ddt99 ddt99 20 août 2010 18:28

À Massaliote

Il ne faut pas faire de généralité d’un cas particulier, il y a des assassins et il y a des voleurs, si tous les voleurs étaient des assassins, il y aurait plusieurs millions de meurtres par an, autant que de cambriolages, alors qu’il n’y a eu « que » (désolé pour le « que ») 682 crimes de sang en 2009, dont la plupart sont des crimes passionnels, de proches ou de voisins, il ne reste que 100 ou 200 crimes qui sont véritablement crapuleux et peut-être même moins (à défaut de véritable statistique détaillée).

Madame, en France environs 160 femmes meurent des coups de leurs maris, compagnons, ex-compagnons, etc., si je faisais comme vous en donnant quelques exemples de femmes qui ont perdu la vie de cette regrettable façon, et que je prétende ensuite que tous les hommes sont des assassins, ou irait-on ?

Même vous trouveriez cela grotesque.

Chaque situation est différente, comparons ce qui est comparable, mon analyse, et non pas ma théorie, est faite en ne tenant compte que de cette situation qui est unique, telle qu’elle fut rapportée dans les médias et non pas en prenant en compte l’âge du capitaine de police qui a instruit cette affaire et de la vitesse à laquelle il conduit son véhicule.

Soyons sérieux, dans les commentaires.

C’est cette même règle générale qui m’a valu une hospitalisation d’office, sans que je ne commisse aucun crime, ni délit, la fonction de Monsieur le Maire UMP et de Monsieur le Préfet ont parlé et ont fait foi, mes origines étrangères ont fait le reste, j’étais donc un malade mental bon à enfermer, tenez vous bien, pour le motif suivant ; MANIFESTÉ PAR DES IDÉES DIFFÉRENTES, c’est textuellement ce que notre « bon » préfet a écrit sur l’arrêté d’hospitalisation d’office.

Non seulement c’est un malandrin, mais c’est aussi un incompétent, incapable de recopier un mot sans se tromper, je suppose qu’il voulait écrire « délirantes », mais en faisant cette erreur, c’est la seule chose de vrai qu’il a écrit sur ce document administratif d’une gravité sans précédent.

Et ensuite la décision du juge a fait loi, me désignant coupable, malgré le non-lieu qui a fait de moi incontestablement la victime de la dénonciation calomnieuse qu’a commise Monsieur le Maire UMP de ma commune, il me renvoya devant le Tribunal de Grande Instance, sur tenez vous bien un décret-loi ABROGÉ et donc CADUC.

Alors par pitié, dépassionnez-vous et ne faites pas d’amalgame entre tous ces faits divers, tous aussi regrettables les uns que les autres.

Et croyez moi, je ne pense pas me tromper en prétendant que ce Monsieur, s’il a une conscience, doit être très mal dans sa peau. 


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