Je t’avoue que je ne connaissais rien à l’histoire du Chili, et qu’effectivement j’ai été très intéressée par les informations livrées, la qualité de ces informations, et les réponses de Lucilio aux délirants accusateurs, incapables de lui opposer le moindre fait en corrélation avec ses arguments (ce qui n’a rien de nouveau, cela dit).
Fascinée encore et toujours par ce binarisme : si tu critiques Allende, c’est que tu absous Pinochet.
De vrais gamins (genre séniles, la cervelle entartrée).