Gourmet 2012 4 septembre 2010 21:20

« ... apparaît comme un grand progressiste à côté des politicards que l’on se farcit maintenant. »

Normal. Dans les années 1920, les « élites » du capitalisme s’inquiétaient pour l’avenir du système devant la montée des révolutions.

Les institutions du système avaient donc tout intérêt à montrer autant que possible patte blanche, et à soigner leur image auprès des citoyens.

A présent, le rapport des forces a radicalement changé et ceux qui nous gouvernement, ou comptent nous gouverner, se fichent éperdument de ce que les citoyens puissent penser d’eux. De toute façon, le système est verrouillé.

Quelque part, pendant les « glorieuses », les mouvements qui se réclament des classes populaires ont mangé leur pain blanc et ont laissé se mettre en place le rouleau compresseur actuel en échange d’avantages temporaires.

Gourmet 2012
La cuisine électorale de 2012
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