antonio 12 septembre 2010 11:57

Le viol a été utilisé et l’est encore malheureusement comme arme de guerre ; c’est dire combien il est « efficace » ( quel mot affreux !) pour détruire un être humain et son entourage.
Comment survit la victime d’un tel acte de barbarie ? A DEMI-MORTE ou A DEMI-VIVANTE ?
Je sais bien que le grand mot à la mode en ce cas c’est « reconstruction » et patati et patata... mais je ne crois pas qu’on se « reconstruise vraiment ; on » vit " avec durant toute son existence : la plaie est moins infectée, suppure moins mais elle est toujours là...Et c’est ce qu’ a expliqué la première jeune femme victime de ce pervers, jeune femme dont j’admire l’extrême courage.
La Justice se rend-elle compte vraiment que le viol est un des crimes les plus odieux ?


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe