Il ne serait que justice que ceux qui ont ouvert aux maximum les vannes de l’immigration en soit ceux qui en récoltent les fruits.

Si le bilan était positif, le débat des retraites n’aurait pas lieu d’être aujourd’hui, rappelez-vous le slogan « des chances pour la France ». Si erreur il y a eu, alors que le coût de cette erreur en soit imputé à la génération responsable, après tout c’est une génération qui se déplacent aux urnes, maintenant qu’elle assume. Les générations suivantes et à venir sont suffisamment endettées et au chômage pour gérer le bébé.