Guido Falxius 26 octobre 2010 16:09

@jef : A 6 les américains aimaient bien, tant que la France ne la ramenait pas trop ! Mais de Gaulle, arrivé 1 an après le traité de Rome, et ne pouvant s’en extraire (son gouvernement était issu d’une coalition avec le parti centriste européiste), il avait choisi de la dominer ! D’être le jockey du cheval allemand ! Mais Kennedy a repris le dessus (« ich bin ein berliner ! »). Une fois de Gaulle viré avec l’aide de la coalition américano-trotskyste (coalition féconde qui donnera quelques années plus tard les néo-conservateurs dans le sillage de Léo Strauss) la descente aux enfers pouvait commencer : loi Pompidou-Rotschild de 73 pour privatiser le franc, et entrée de l’Angleterre dans le Marché Commun. Tout ce que de Gaulle avait toujours refusé !


Aujourd’hui le « stratagème des chaînes » fonctionne à plein. Le syndic américain peut décider à la place des 27 locataires de l’immeuble.

Merci pour cet article basé sur F. Asselineau qui est à n’en pas douter un personnage qui gagne à être connu. Continuez donc à le faire connaître !

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