Thomas (---.---.154.5) 27 mars 2006 22:47

Sachez que je ressens un profond respect pour votre génération, mais comprenez que je n’ai ni fait la guerre, ni participé à la libéralisation et encore moins à la constitution d’une solidarité nationale.

La seule question que j’ose me poser, pourquoi continuer à faire subsister un système caduque dès sa mise en place. Je crois que la légitimité d’une institution se traduit par sa réussite dans la durée. Or, se système tout le monde le sait, ne pouvez guère faire face à la l’afflux d’enfant du baby-boom.

Mais quand je parle à mon grand-père, qui est une source inépuisable d’information sur l’histoire, celui-ci reconnait en toute simplicité les errreurs de sa génération. Alors si tout le monde est d’accord, pourquoi ne faisons nous rien.

Regardons la jeunesse de notre pays d’un autre oeil, comme celle dont on doit laisser la place et non comme une concurrence comme le font certains cadres qui s’accroche, légitimement certes, à leur poste. Formons la jeunesse, donnons lui plus de place et ce pour ma génération, mais également pour les générations à venir.

Je crois à un libéralisme « à la française », qui allie liberté et protection pour tout le monde. Liberté d’entreprendre, liberté d’orienté sa vie comme on le souhaite. Ainsi, un tel système donnera moins de place aux gens qui élèvent au rang d’art la faculté de se plaindre.

Pour moi, c’est ça le libéralisme... et pas celui que certains égoïstes prétendre combattre au profit d’un système qui est mort. Y à t-il quelqu’un dans ce pays qui va comprendre que les événement grave que notre pays traverse nécessite un refonte totale du pays ? La réforme, libéralisme ou pas, doit avoir l’abrobation de tous et ne dois pas être établi par quelques personnes dans un cabinet de Paris.


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