A Lisbeth Ker Carradec
Pas un instant, je n’ai cru à l’histoire de Madame Z. qui n’est que pure fiction et encore moins à la fable de maltraitance au travail, vécue par vous.
Pour une employée prétendument docile, vous retrouvez rapidement vos esprits et une hargne redoutable pour invectiver de manière peu élégante des interlocuteurs, peu enclin à larmoyer sur le sort d’une secrétaire stakanoviste.
La pauvre madame Z. secrétaire persécutée et harassé de boulot, mère de famille, n’est qu’un imposteur féminin, tout droit sortie de votre imaginaire.