Bonsoir Nina,
Je vous ai laisser la bride pour les visions de l’intérieur du pays.
Bucarest, je ne connais pas. Je n’ai pas eu l’occasion d’y aller.
La plus grande ville dont je me souviens c’était Constanta.
Si je reprends mon autre article où j’ai laissé mes souvenirs d’il y a 36 ans, j’’écrivais : "Le plus
grand hôtel de Mamaia, l’International de Mamia, était réservé aux voitures avec
plaques spéciales. Attention, faut pas, à l’intérieur, le confondre avec
le confort occidental. Dans les rues, en douce, on venait auprès du
touriste trop reconnaissable, pour échanger des devises à un tarif sans
concurrence avec celui pratiqué par l’officiel. Le leu se transformait
tout à coup en lei, son pluriel. Les magasins, eux, pratiquaient une
ségrégation de fait. Touristes d’un côté, autochtones de l’autre.
Nourriture top niveau pour les premiers, pour devises étrangères et en
deuxième source, avec tickets de rationnement, pour les autres, quand il
y en avait. Pas de mélange. Les étalages reflétaient plus encore cette
différence par des tarifs dissuasifs convertis en devise."
Est-ce encore le cas ? Je sais que la monnaie est maintenant l’euro, mais une ségrégation existe-t-elle encore ?
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe