L'enfoiré L’enfoiré 31 janvier 2011 18:57

Bonsoir Nina,
 Je vous ai laisser la bride pour les visions de l’intérieur du pays.
 Bucarest, je ne connais pas. Je n’ai pas eu l’occasion d’y aller.
 La plus grande ville dont je me souviens c’était Constanta.
 Si je reprends mon autre article où j’ai laissé mes souvenirs d’il y a 36 ans, j’’écrivais : "Le plus grand hôtel de Mamaia, l’International de Mamia, était réservé aux voitures avec plaques spéciales. Attention, faut pas, à l’intérieur, le confondre avec le confort occidental. Dans les rues, en douce, on venait auprès du touriste trop reconnaissable, pour échanger des devises à un tarif sans concurrence avec celui pratiqué par l’officiel. Le leu se transformait tout à coup en lei, son pluriel. Les magasins, eux, pratiquaient une ségrégation de fait. Touristes d’un côté, autochtones de l’autre. Nourriture top niveau pour les premiers, pour devises étrangères et en deuxième source, avec tickets de rationnement, pour les autres, quand il y en avait. Pas de mélange. Les étalages reflétaient plus encore cette différence par des tarifs dissuasifs convertis en devise."

Est-ce encore le cas ? Je sais que la monnaie est maintenant l’euro, mais une ségrégation existe-t-elle encore ?
 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe