brieli67 24 janvier 2011 19:31

@ Armand


sur le roman de Littel « Les Bienveillantes » d’autres voies
Une bienveillante fiction

L’exploitation éditoriale et romanesque du génocide des Juifs par les nazis


« La fiction est la transgression la plus grave dans une histoire pareille »

— Claude Lanzmann  ( 1985, mais daigne plus s'en souvenir)


Dans la perspective du bourreau, il y a depuis longtemps mieux: 

Le Nazi et le Barbier d' Edgar Hilsenrath connait un succés croissant en Allemagne depuis sa sortie en 1971 vient d'être réedité en France.  

Les Bienveillantes:  si le plan est génial, le remplissage que de clichés que d'immondices et pour quelle génération deuxième, troisième ?? 

Eichmann en citant Harendt n'est pas McBeth même pas un Monstre (Ungeheuer) mais porte incontestablement les habits de l'éternel comique le Hanswurst  Le mal est banalisé. Ce qu'on apprend avec Littel : L'éleve-bourreau en se métamorphosant acquière la faculté de ne plus se rendre compte du changement.

Inné ou acquis,  

 les  boureaux, exécuteurs maîtres en hautes et basses oeuvres : 

ça se passe en famille : des dynasties.

Dans le contexte shoah, négationiste, j'ai tendance à suivre Pierre  Aycoberry  professeur d'histoire contemporaine a Strasbourg.  tant qu'il y a des questions






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