"Quant aux juifs, je pense aux combattants du Bund, aux glorieux
combattants du Ghetto de Varsovie, leur mémoire mérite bien mieux que
des défenseurs aussi indignes, que ceux qui se cachent derrière leur
mémoire et leur nom pour affamer les enfants de Gaza."
Pouvez-vous un instant imaginer que l’on puisse défendre les enfants de Gaza et que l’on se refuse en même temps à célébrer un auteur qui n’était pas seulement un produit de son temps, mais un précurseur dans l’horreur. Je reprends la phrase prosaïque de Péripate : il est des choix moins clivants.