@ Olivier Cabanel,
« Les tensions sur les prix des marchés mondiaux de produits alimentaires, céréales notamment, seraient bien moindres si, dans les pays importateurs, du tiers-monde notamment, les agriculteurs se trouvaient en situation de donner la pleine mesure de leur potentiel de capacité de production... etc. » (JPLL)
Olivier, n’avez-vous pas fait éditer récemment ici un article sur le « parler creux » ?