Celà ne fait que conforter ma lutte personnelle contre le baillonnement organisé de la diversité culturelle (je ne parle pas de la spécificité française nombriliste) mais bien de l’accès à la culture mondiale, universelle que permet internet et le P2P. Où trouver l’expression artistique, musicale que l’on ne peut pas trouver dans les bacs à « m.... » formattés des grands majors, qui ne souhaitent distiller à leurs clients que ce qu’ils veulent bien nous offrir (contre forte rémunération bien sûr). Je pirate et j’en suis fier, non pas parce que je pille « l’industrie des médias », mais parce que c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour rester libre et hors des chemins imposés par les grands capitaux.