Il y a peut-être aussi ce que j’appelle le syndrome du prince charmant. Syndrome très égoïste mais tellement humain qui veut que l’on rêve d’être « à la place de », d’avoir un jour l’espoir qu’un prince viendra vous sortir de la misère.
Et pour que cela fonctionne il faut des pauvres pour y croire et espérer que l’on sera l’élu parmi les pauvres qui le resteront.