« C’est toute la différence entre les deux approches »
C’est dommage d’être binaire à ce point. Regardez de l’autre côté de l’atlantique, au moins Bernanke fait tourner la planche à billets (friedmano-keynésianisme) pour que ces potes les banquiers se gavent de 134 milliards de bonus en 2010 et spéculent sur les matières premières. Au moins, Obama ne finit pas avec une balle dans le crâne, comme Kennedy.
Et oui Aymé Fay, une troisième voie existe.