Il faudrait lui faire le coup de l’attaque du plateau de Pratzen.
Le plan consisterait à le pilonner à chaque sortie afin de le contenir à hauteur du troisième homme (ou femme), tout en retenant nos coups afin d’éviter un décrochage fatal. L’exercice est assez délicat puisqu’il ne doit ni être trop haut dans les sondages pour susciter une dynamique de reconquête ou une contre-offensive, ni trop bas pour éviter qu’il soit tenté de sonner la retraite. Sarko doit naviguer à l’aveugle entre deux eaux, dans le brouillard, jusqu’à l’annonce officielle de sa candidature en novembre prochain.
Et là, à cet instant précis, on lance une offensive frontale, comme Napoléon à Austerlitz, dans l’axe, qui le balaye au soir du premier tour.
Ran tan plan, on va lui percer le flanc ! (Vidéo, Austerlitz)