Quant à l’emploi du mot Lopette, si vous relisez Sartre et sa vision du libre-arbitre, vous verrez les distinctions entre l’homme de mauvaise foi, le salaud ou la putain. En terme post-moderne on pourra ajouter à ces catégories la pouf, la pétasse ou la rombière alcoolisée, laquelle n’est crédible qu’en terme mondain et modal. Le reste est péroraison dans un salon de thé.
Comment peut-on être persan ?
Sans lait avec une rondelle de citron, merci.
Slts.